Puis les années s’accélèrent pour devenir un battement d’aile.
Enfant on s’arrête regarder voleter le papillon.
Adulte il ne rentre plus dans notre champs, invisible à nos yeux.
Crédit photo : Laure Brignone
Le temps est partout dans nos sociétés.
« On n’a pas le temps » ni de prendre son temps, ni de vivre le temps.
On cours après… une perception.
Un train lancé à grande vitesse, une vitesse exponentielle.
On cours après des objectifs et autour de nous tout défile très vite.
Le paysage devient des jeux de mouvements et de lumières indistincts.
Faire une pause ? Pardon ?
Ah non j’ai plein de choses à faire, et puis mes clients/enfants/conjoints (etc..) n’attendent pas !
Et puis je risque de me faire doubler, dépasser par… qui, quoi en fait ?
Pourtant le temps c’est aussi ce qui fait que notre vie est excitante.
Si on vivait éternellement, passerait-on à l’action ? Ferions nous des projets ?
Ou bien on remettrait à demain encore et encore, bloqué dans une éternité sans mouvement ?
Alors certaines personnes ont apprivoisé le temps. Ou plus exactement l’ont accepté. Comme un ami.
Je m’aperçois de plus en plus que selon la façon dont je vais me relier à moi-même, à mon espace de sérénité et de créativité intérieur, je ne vis pas du tout le temps de la même façon. Parfois, quand je crée, il me semble que je peux presque l’étirer (ce qui me donne une sensation de vécu en profondeur des choses), parfois j’ai la sensation de vivre tout en un seul instant !!! J’aime vivre ce contraste !
Le temps serait-il une énergie, une vibration à modeler ?
Le temps qui court…
Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit : « Souviens-toi !
Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d’effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible, Le plaisir vaporeux fuira vers l’horizon
Ainsi qu’une sylphide au fond de la coulisse ;
Chaque instant te dévore un morceau du délice
A chaque homme accordé pour toute sa saison.
Petite, j’avais des crises d’organisation : de super plannings à l’heure près de toute ma semaine. Pourtant ce qui me faisait du bien c’était juste de les faire. Car du plus loin que je me souvienne je n’en ai jamais suivi un plus d’une demi journée ! Mais je recommençais. Régulièrement. L’enfant a la mémoire qui rebondit…
Nous sommes nombreux à courir après le temps dans nos sociétés et à chercher plein d’outils et de solutions en tout genre. Des outils « efficients », magiques qui vont « optimiser » nos journées.
Encore plus lorsqu’on a mille projets et envies en tête, des enfants, de nombreuses activités…
Entre multipotentialistes nous parlons beaucoup de lui mais nous sommes loin d’être les seuls à être concernés ! Et on court tellement à sa recherche qu’on ne le voit plus passer.
Les outils c’est bien, la gestion du temps cela aide. Mais pour que tout cela fonctionne, que nos esprits respirent, ne faut-il pas d’abord changer sa perception du temps ?
(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Qu’il ne faut pas lâcher sans en extraire l’or ! Trois mille six cents fois par heure, la Seconde
Chuchote : Souviens-toi ! – Rapide, avec sa voix
D’insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,
Et j’ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !
Partir tête baissée dans un sujet, une tâche à faire, déjà speedé parce que tourne dans notre tête la liste des 50 autres choses à terminer/commencer. Foncer donc, mais forcément mal, pas concentré, stressé, sans réflexion et recul.
Alors on se perd, on fait des choses inutiles et chronophages, on panique encore plus. Mais on est lancé, il faut finir, encore plus vite, et on fait encore plus mal… quelque chose de pas si utile (forcément fatigué et pas concentré !).
Stoooooop !
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.
Tantôt sonnera l’heure où le divin Hasard,
Où l’auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !),
Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! »
Alors si on faisait une pause ?
La pause préalable : pourquoi je fais ça ?
Au début de mes études je reprenais tous mes cours en fiche. Jusqu’au jour où j’en ai eu marre de bosser tout le temps. J’ai commencé à les prendre directement sous forme de fiches en classe. Résultat : un cours propre déjà en parti retenu (oui cela m’obligeait à être vraiment concentrée plutôt que de regarder les oiseaux passer…) et rien à faire de plus chez moi que de l’apprendre. J’ai gagné un temps fou et amélioré mes résultats !
Quelques années plus tard je reprend des études en Psychologie en parallèle d’un travail à plein temps. Premier réflexe faire des fiches !! Oula ! Stoooop ! C’est quoi l’utilité ? Alors je me suis contentée de fiches plans et schémas quand cela était utile, mais uniquement après avoir compris le cours 😉
Sur les forums, des personnes pourtant pleine de motivation, partageaient des fiches qui reprenaient TOUT les bouquins (et ils étaient très volumineux !) et qui forcément n’y arrivaient pas, entre ça, des enfants et un travail à plein temps…
La pause préalable c’est prendre le temps de réfléchir à comment on va aborder les choses et si ce que l’on prévoit de mettre en oeuvre est vraiment utile. C’est à dire accepter de prendre du temps avant de commencer. Même si on pense que l’on en a pas !
Crédit photo : Laure Brignone
Cela veut aussi dire s’autoriser à arrêter quelque chose en cours de route. Soit parce que l’on se rend compte que cela ne sert à rien, soit parce qu’on s’est trompé de direction, soit parce qu’on a appris/compris tout ce que l’on cherchait ici. Car en réalité vous avez fini… pour vous.
Plutôt que de se dire j’ai commencé alors je vais jusqu’au bout (de quoi d’ailleurs ?). Par exemple un bouquin qui nous ennuie, des récapitulatifs bien trop chronophages pour ce qu’ils apportent, des engagements où l’on va / que l’on fait à reculons etc…
D’ailleurs petit clin d’oeil aux multipotentialistes, si on vous dit que vous ne finissez pas les choses, ne vous laissez pas atteindre. Pour vous ces choses sont finies pour une des raisons ci-dessus. Ce que la société considère comme une fin n’est pas forcément la votre. Si pour vous c’est la fin parce que vous vous ennuyez et n’y trouvez plus de plaisir, vous arrêtez pour des raisons tout à fait valables (encore une histoire de perception…).
Je pars du principe que le Temps est le même pour Tous. 24 heures nous sont offertes chaque jour, alors je suis à l’écoute de ce qui m’inspire le plus, pour utiliser ce temps à bon escient.
Et si par mégarde, il m’arrive de me laisser embarquer dans la spirale infernale « des petits lutins qui avancent les pendules plus vite qu’il ne faudrait », je me pose, je me recentre : « Marie, qu’est-ce qui est le plus important pour toi, là, maintenant ? ». Ça me permet de me reconnecter à l’Essentiel plutôt que de foncer tête baissée en mode robot ! Si un domaine, une activité, un projet ne fait plus sens pour moi, ça ne sert à rien d’y consacrer toute mon énergie au détriment du reste.
Par ailleurs, nous faisons tous des choses qui nous éparpillent et sans réel intérêt. Prendre le temps de revoir pourquoi on fait chaque chose peut nous libérer énormément d’espace mental et de temps !
Oui je prône la simplification. A tous les niveaux.
La pause respiratoire : j’ai pas fini ? et bien tant pis !
En tant que multipotentialiste super enthousiaste c’est souvent dur de se réfréner particulièrement lorsqu’on découvre un nouveau sujet, on a envie de tout lire, de bloquer dessus durant des heures, des jours ou même quelques mois (et même quelques années pour certain(e)s ;-)).
Pourtant quand j’étais dans ces états là, un moment venait où je n’arrivais plus à décoller. Je ne profitais plus de mes recherches car j’étais fatiguée (j’avais zappé toutes les pauses de la journée voire même le repas parfois !). Je commençais à culpabiliser de n’avoir pas plus avancé sur ça ou sur mes autres tâches et je me sentais comme prise au piège dans ma propre boucle (car je n’arrivais pas à arrêter pour autant…). Et pour finir j’allais me coucher et je rêvais de ma journée, l’horreur !!
Crédit photo : Laure Brignone
Et puis j’ai appris à m’arrêter. Au début en me mettant d’autres contraintes qui me forçait à stopper. Je me donnais un temps et des objectifs en fonction. Parfois je ne les atteignais pas : pas grave ce sera pour la prochaine session.
Le temps n’est pas un problème pour moi, car c’est ma plus grande richesse, mon plus grand luxe. Je suis artiste-entrepreneure et chaque seconde de ma vie (ou presque) m’appartient. (..) Avec l’expérience, j’ai appris à éloigner la frustration (tu sais quand tu veux faire quelque chose mais que tu peux pas parce tu as une autre obligation, genre des enfants ;)) en m’ancrant dans le présent. Je pense moins au passé et au futur, je profite de là où je suis.
C’était dur de s’arrêter au milieu. Mais souvent la fois d’après les choses avaient avancé d’elles-mêmes en arrière plan et je trouvais la solution très vite. Je n’avais plus la tête saturée qui tourne en boucle mais un esprit reposé, qui en plus avait travaillé de son côté !
En résumé je me sens beaucoup mieux, je travaille plus efficacement : en s’arrêtant on gagne du temps et du bien être.
La pause déconnexion : c’est quoi mon problème ?
Donc oui il y a plein de techniques à mettre en œuvre, plein d’outils en tout genre.
Mais la vraie question est quel est votre problème avec le temps ?
Après quoi courrez-vous ? Et pourquoi ?
Pourquoi vivez-vous ? Quels sont vos moments de joie dans la vie ?
Les objectifs c’est bien. Une fois le premier atteint, on passe au second. Et au troisième.
Et après ? La vie c’est quoi ? Vos objectifs ?
Non c’est le temps durant lequel vous êtes en train de les réaliser.
Alors ce temps que voulez-vous en faire et comment voulez-vous le vivre ?
Peut-être est-il nécessaire de s’arrêter, de descendre à l’arrêt suivant pour contempler le chemin parcouru. Mais aussi et surtout le chemin que l’on a ENVIE de parcourir (j’ai bien dit envie !! pas celui que l’on doit parcourir !).
Et tant que l’on ne s’arrête pas c’est le chemin que l’on DOIT parcourir que l’on prend.
La pause amène aussi à arrêter de culpabiliser. Vous n’avez pas fait cela ? Et alors ? Que va t’il se passer vraiment ? Parfois il y a des choses importantes et urgentes mais la plupart du temps c’est loin de l’être…
Je ne pense pas que ce soit un problème. Le temps c’est une donnée avec laquelle je dois vivre. Je ne me sens pas trop stressée par le temps. Avant c’était le cas car je voulais tout faire. Maintenant comme « ce qui doit être fait sera fait », si ce n’est pas fait c’est que ça ne devait pas être fait à ce moment là, et au pire je m’excuse auprès des personnes que cela peu impacter.
La nature et la créativité sont pour cela de beaux arrêts. Ils aident à reprendre contact avec soi.
La pause naturelle : retrouver sa respiration
La pause où on écoute les oiseaux gazouiller, le souffle du vent, où l’on cherche des formes dans les nuages (cela fait longtemps que vous n’avez pas regardé les nuages ?), où on respire à plein poumons (où déjà on pense à respirer !!). Celle où l’on redécouvre l’émerveillement et la poésie du monde, durant quelques secondes, minutes, heures, jours !
Crédit photo : Laure Brignone
Marie a fait un défi nature – une heure chaque matin de photo et de nature – ses textes nous montrent à quel point se donner un temps comme celui-ci est inspirant !
Et bien ces pauses ci vont vous faire gagner un temps fou. En clarté, en idée, en vision, en bien-être.
C’est dans ces pauses que vous avanceraient le plus. Que le superflu, le non important apparaîtra. Que l’étincelle de vie qui nous anime tous reprendra sa vraie place.
Vivez-vous vraiment pour courir, vous angoisser, vous remplir d’aliments, de boissons, connaissances, histoires sans même vous en rendre compte ? Et lorsque vous manger d’ailleurs sentez-vous vraiment le goût des aliments ? Ou êtes-vous en train de travailler, de regarder la télé ?
Je prends le temps ou plutôt je l’invite à danser avec mes rythmes intérieurs. Je n’y arrive pas toujours, surtout quand je me laisse prendre au piège des conditionnements moraux et d’un modèle social qui, à mon sens, va à l’encontre de la Vie.
La base pour moi, c’est l’écoute du corps. Et c’est là aussi où réside mon équilibre pour en revenir à la question de tout à l’heure. Nous avons besoin de respiration, c’est-à-dire, un temps pour recevoir, méditer, contempler… Et un autre, pour agir, partager, transmettre… Il y a dans le corps, des clés pour nous aider à mieux vivre notre vie humaine. J’aspire à être en harmonie avec cette sagesse.
Alors aujourd’hui je vous invite à revenir à l’essentiel, ce qui vous constitue et ce qui vous entoure.
Reprendre contact à la nature c’est reprendre contact avec soi même, c’est réapprendre à s’émerveiller.
La pause créative : là où tout arrive
La créativité a besoin de ces moments, c’est là où elle s’exprime.
Car la créativité c’est laisser l’émerveillement, la magie, le rêve, l’imagination venir distiller des petites gouttes dans nos vies. Elle se nourrit de la curiosité, de l’ouverture d’esprit, de l’enthousiasme.
Elle est présente en chacun de nous et ne demande qu’à s’exprimer.
La créativité va bien au delà de l’artistique où elle est parfois assimilée. La créativité commence par l’esprit. Résoudre un problème, trouver ses propres solutions, l’innovation, c’est avant tout de la créativité. C’est créer quelque chose, que ce soit une création mentale ou une création qui se réalise dans la matière.
Et pour permettre à cette créativité d’émerger j’ai une petite astuce d’une simplicité déconcertante.
C’est tout simplement me fixer un espace à travers le temps !
C’est quelque chose que j’utilise surtout pour des lectures qui entrainent réflexion, notes et créativité, pour créer, dessiner, écrire, pour avoir des idées ou simplement un temps de paix pour moi-même à regarder et ressentir mon environnement.
Crédit photo et dessin : Laure Brignone – feutre et crayons de couleur
Me fixer un temps et un moment pour ces activités n’a rien à voir avec un emploi du temps précis. Je ne parle pas d’un créneau contrainte mais d’un créneau d’aération, quelque chose de fluide qui passe en priorité mais se place au gré du vent.
C’est se réserver dans une journée une heure, deux heures, trois heures pour faire telle chose. Il n’y a pas forcément une horaire, mais il y a un temps défini. Je dirais au moins une heure, parce que dans cette zone de temps il faut avoir le temps ! Le temps de ne pas être en speed, de se poser tranquillement et de savoir que l’on a du temps devant vous.
Alors évidemment durant ce moment, la règle numéro 1 est que l’on prend son temps, on fait la chose que l’on désire faire en conscience, en douceur, dans l’écoute de soi et de l’environnement, avec respiration.
Et ceux sont alors des moments hors temps où tout devient possible.
Mes inspirations se chargent de faire des choix pour moi. Je n’essaie pas de caser des activités, j’essaie d’écouter mes envies au moment où j’ai du temps libre. Si j’ai une heure devant moi, que faire ? Je me pose deux minutes, j’écoute ma petite voix intérieure et je la laisse me guider.
Par exemple cet été j’étais au bord de la mer, chaque jour j’avais mon heure incompressible de baignade, lecture, rêverie. Et c’était la priorité de ma journée. Elle n’avait pas d’horaire c’était fonction du jour. Et cela me permettait d’être beaucoup plus efficace ensuite, d’autant plus qu’à chaque fois je repartais avec de nouvelles idées !
Le fait que le temps soit fixé et incompressible me permet aussi de sortir de ma tête toutes les autres choses que je dois faire. Elles viennent après, en dehors de ce temps, elles n’ont plus aucun court ici.
Et pour tout vous dire ces moments me font un bien fou et c’est en général là que m’a créativité est à son maximum.
D’ailleurs qu’est ce que le temps en fait ?
Vers une autre perception du temps ?
Le temps est une sensation, une perception de la conscience.
Nous concevons le temps avec notre perception animal (oui nous sommes toujours des animaux !). Mais le temps semble bien différent pour le végétal… Un arbre garde la mémoire de toutes ses étapes. Les cellules de l’arbre à 10 ans, 50 ans, 150 ans sont toujours là devant nous. alors que nous n’avons pratiquement plus aucun élément physique de nous enfant (peut être quelques cellules et encore…).
Comme l’explique si bien Francis Hallé dans cette merveilleuse vidéo « Eloge de la plante » :
« L’être humain, l’animal domine relativement bien l’espace car il peut se déplacer. Mais en contrepartie le temps nous le gérons très mal. Nous n’arrivons pas à intégrer le facteur temps.
L’arbre c’est exactement la même chose. Son immobilité le rend limité dans la gestion de l’espace. Mais les arbres sont les champions de la gestion, de la compréhension, de l’utilisation du temps.. »
(La partie sur le temps est de 7:25 à 9:00 mais toute la vidéo vaut la peine d’être vue pour bien comprendre l’approche)
Mais alors le temps existe t-il vraiment ? Des théories intéressantes se penchent sur cette question en particulier celle de la rétraucausalité, très bien expliquée dans cette bd :
Crédit : dessin et contenu de Armella de Conscience Quantique
Et si changer quelque chose dans le futur, modifiait le présent ?
Je vous laisse concevoir cela… ou pas 😀
Je remercie d’ailleurs le groupe Facebook « Multipotentialité, pourquoi choisir » où nous avons eu un échange très intéressant sur le temps cet été, le sujet est ici (pour le voir vous devez vous inscrire au groupe).
Et si on passait à l’application ?
Bon vous n’arrivez toujours pas à déconnecter ?
Alors je ne vois plus que ça :
ou ça :
Testé et garanti 😉
Enfin pour passer directement à une application de cet article, je vous propose un objectif déconnexion sur 10 semaines : une vidéo par semaine jusqu’à Noël ! Il a commencé la semaine du 17 octobre, mais vous pouvez bien sûr le prendre en marche en commençant par la première vidéo ci-dessous à n’importe quel moment.
Et bien sûr donnez-nous dans les commentaires vos idées, trucs, perceptions autour du temps ! Si vous avez testé les pauses et ce que vous en pensez. Et les idées qu’on pu faire germer cet article 🙂
Si tu veux avancer par toi même, à ton rythme, avec une méthode spécialement conçue pour les profils multiples, tu peux dès maintenant télécharger ton Carnet sur le Temps :
La danse du temps : trouve ta place et ton espace.
Tu y trouveras de nombreuses exercices et actions à tester (et à adapter à qui tu es surtout !) ainsi que du contenu te permettant de modifier ton approche du temps.
C’est une méthode pas à pas pour retrouver ton propre espace temporel.
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